Monter au mât
À 13 ou 14 mètres au-dessus de l’eau, on se sent tout petit ! Et en plus le bateau continue à bouger doucement (en bas) et en haut l’amplitude devient au minimum 1 mètre !
Nous avons fait l’acquisition d’une échelle de mât qui prend la place de la grand-voile dans sa ralingue. Ce système permet à un équipier seul de monter… en veillant à ne rien oublier en bas !
Pour changer une ampoule, régler la girouette ou installer l’antenne VHF, il faut parfois monter au mât. Plusieurs équipiers s’y sont essayés. Laura, la plus jeune de tous, a réussi de façon magistrale.
- Les premiers échelons
- Avant de monter, il fallait penser à la sécurité. Baudrier enfilé et drisse accrochée, j’allais enfin pouvoir grimper. Au début, j’avais un peu de mal à me hisser.
- En haut du mât
- Les barres de flèches sont assez difficiles à passer : tout en veillant à ne pas perdre l’équilibre, il faut détacher la sangle qui entoure le mât pour la passer au-dessus des barres de flèches. Puis il faut enlever la drisse de sécurité et la mettre de l’autre côté. Attention à ne pas emmêler les cordes entre elles !!!
- Petits réglages…
- En haut du mât, une mission de la plus haute importance m’attendait : j’étais chargée de bouger de quelques degrés l’angle de la girouette !!!
A douze mètres au-dessus de l’eau !
- Amarrage hollandais
- Des « Ducs d’Albe » permettent l’amarrage arrière sans garde et sans toucher le ponton à l’arrivée !
Les plus jeunes équipiers ont franchi le pas en 2011