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Cotentin : côte est

Depuis Cherbourg, après un passage pas toujours facile du Raz Barfleur, l’île de Tatihou marque l’entrée du port de St Vaast La Fougue. Les parcs à huîtres couvrent une surface très importante, ils ont fait la renommée de la région… et notre plaisir à l’escale !

L’île de Tatihou marque l’entrée du port. On peut y accéder à pied ou en voiture à marée basse.

Un curieux véhicule amphibie assure la liaison avec Tatihou, quelle que soit la hauteur d’eau !

Le port dans la ville est très fréquenté l’été, surtout par les anglais qui viennent (aussi) y faire le plein de boissons qu’ils ne trouvent pas chez eux : vins rouges ou blancs.

Passage difficile du Raz Barfleur, comme le raz Blanchard, avec un peu moins de courant !

 

C’est un grand port militaire et de plaisance dans la ville. De nombreux anglais y laissent leur bateau à l’année car le coût annuel d’un anneau est considérablement moins cher qu’au Royaume-Uni. Les nombreux ferry qui font la navette avec Poole ou Portsmouth en 2 h 30/3 H 00 rendent cette solution très abordable (moins de 100 €/personne en 2011).

La grande rade artificielle (la plus grande du monde semble-t-il) est délimitée par des forts et une immense jetée.

Cotentin : côte ouest

Construit en pleine campagne entre la centrale nucléaire de Flamanville et l’usine de retraitement de la Hague, Dielette offre tous les services d’un grand port. Peu fréquenté, le port accueille depuis mi-juillet 2003 une liaison en ferry avec les îles anglo-normandes

Le travel lift de Granville est retenu par un câble car la pente est importante. Comme nous ne sommes qu’à quelques kilomètres du Mont Saint Michel, le marnage est maximum, il peut dépasser 11 mètres.

Le port est bien équipé et les personnels très accueillants. Comme dans presque tous les ports de la Manche, il faut tenir compte des marées pour entrer et sortir.

Raz Blanchard et Aurigny

Des coins difficiles !

Les anglo-normandes

Guernesey

Jersey, les Minquiers et les Roches Douvres

Chausey

En 1996… Avec laura

Pas vraiment un archipel anglo-normand puisque français, l’archipel de Chausey est fabuleux avec ses îles qui apparaissent et disparaissent au rythme des marées.

Amarrage en ligne, puis à couple en fonction de la fréquentation. Très calme à marée basse il peut s’avérer remuant à marée haute !

Travaux sur les quilles

Depuis longtemps, nous savions qu’il faudrait aller faire un tour sous les quilles. Elles s’abîment surtout lorsqu’on se pose à marée basse. Nous avons du lever le bateau, le poser sur les chandeliers et nous avons ainsi pu accéder facilement aux parties exposées.

Nous avons gratté, mastiqué, poncé, enduit de résine et de tissu de verre tout le dessous, puis mastiqué et enfin poncé. Si le résultat n’est pas parfait, nous sommes content d’avoir pu protéger efficacement nos quilles

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