Le canal du midi
Partis de Mâcon pour rejoindre Bordeaux trois semaines et 460 milles plus tard, un équipage a convoyé le bateau tout au long du canal du midi pendant environ 130 heures réparties sur trois semaines. Pour tenir ce programme, il faut naviguer pratiquement tous les jours. Le franchissement des écluses nombreuses, souvent doubles voire plus (Fonsérannes comprend sept paliers imbriqués) ne peut pas se prévoir en temps de façon précise.
- Avant l’entrée dans le canal
- Au milieu des étangs, un canal est balisé pour traverser la Provence.
- Ecluse
- Il a fallau grimper pour amarrer le bateau : c’est ce qui est le plus physique ! (surtout que ça se répète un certain nombre de fois dans la journée !)
- Ecluse
- On se trouve dans la zone de location des pénichettes.
- Ecluse
- Dans la zone de location des pénichettes, lorsque l’écluse est un peu remuante et que les autres marins ne sont pas toujours expérimentés, on se prend quelques sueurs froides !
- Sous les arbres
- Passage très agréable, sous les arbres qui bordent le canal
- En sortant de l’écluse
- Nous sommes déjà dans les écluses « descendantes », plus reposantes.
- Ecluse
- Comme on descend encore, c’est presque reposant.
- La Garonne
- Un très fort courant permanent impose une attention très soutenue.
- Transport du mât
- Comme le mât dépasse largement le bateau, nous l’avions soigneusement emballé en prévision d’écluses remuantes.
- Transport du mât
- Nous avions installé un croisillon assez haut à l’arrière pour être à l’aise dans le cockpit.
- Escale paisible
- On peut trouver beaucoup d’escales très calmes, pour se reposer des efforts dans les écluses.
- Escale de rêve
- Calme et beauté du paysage : les deux ingrédients pour une nuit « sans escale » !