Le Svalbard (dont le Spitzberg est un massif) est situé à 5000 km de notre région lyonnaise, à 1000 km du pôle Nord.
Sa situation : entre les 71° et 81° Nord et 10° à 35 ° Est soit environ 63 000 km2, dont 60% recouverts par la glace.
Il n’y a pas de nuit entre le 20 avril et le 20 août.
Le Svalbard est situé entre le nord de la Norvège et le pôle nord. Son sommet principal est le Spitzberg qui donne souvent son nom à tout l’archipel.
Notre croisière s’est effectuée à bord d’Ojala, un voilier de 18 m, skippé par Éric Dupuis et sa compagne, Claudeen 2003.
La navigation n’est possible qu’en été, sur la côte ouest, grâce au Gulf Stream qui la réchauffe. Le reste du Svalbard est pris en permanence par la glace.
Nous avons découvert des paysages extraordinaires, des animaux qui se laissent approcher, une flore minuscule mais riche et de nouveaux équipiers sur un bateau très sûr.
L’ours polaire Bien que nous ne l’ayons pas vu, il est omniprésent. De nombreuses affiches en toutes langues rappellent son danger permanent., Il est indispensable de descendre à terre avec un fusil ou des fusées car il s’attaque à l’homme. On compte presque une attaque mortelle par an.
Le poêle est le bienvenu pour sécher nos vêtements vite humides et froids
À terre, avec le fusil de rigueur, on observe les traces du passage des animaux.
Le passage du 80°Nord est attesté par le GPS
En été, le vent est souvent faible. Ici nous profitons d’une petite dépression pour conduire le bateau à plus de 10 nœuds.
Tout est très humide et froid. Nous avons trouvé plusieurs changements de paysage, donc de végétation.
Plante des marais
Une traversée peu confortable
Flore ?
Annie contemple une toute petite partie de la pêche
Un plat de centollas qui ne nous a coûté que quelques bières
Une centolla, presque un mètre d’envergure, que l’on pêche par tonnes pour être expédiées dans le monde entier
Les pêcheurs nous envient tous nos tenues de marins plaisanciers, alors que leurs tenues de marins pêcheurs sont faites de rafistolages en tous genres…
En 2001, nous avons navigué à travers les canaux de Patagonie et nous avons fait le tour du Cap Horn, comme les grands marins ! Sauf qu’eux viennent d’Australie et nous d’Ushuaïa.
Ils sont très variés. Nous rencontrons peu de gens. Tous attachants car avides de têtes nouvelles dans un univers un peu fermé.
Ushuaïa, touristes du bout du monde ! Malgré l’été, le ciré est de rigueur
Ushuaïa, ville en perpétuelle reconstruction abrite 57000 habitants
Puerto Toro Peuplade la plus australe annonce le panneau où ne vivent que deux pêcheurs et quelques militaires.
Puerto Toro Escale des voiliers du Horn. En saison, les pêcheurs y font escale.
Puerto Toro, l’école
Le canal Beagle
Autour du cap Horn
Une accalmie permet de faire la photo de famille, le verre de champagne à la main ! De D à G : Pierre, Catherine, Rodger, Pierre-Charles, Annie et Maurice. Photo prise par Jean, skipper
C’est fini, le vent se lève et nous repartons
Abri sûr dans une caleta
Caleta Romanche Un abri sûr par 40 noeuds de vent ce jour là.
España Magie de la glace bleu turquoise
Le canal Beagle Peu de vagues hautes et beaucoup de vent : recette du régal à la barre
Rencontre inattendue dans le Beagle de kayakistes de la région de Chamonix
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